Toutes les poupées sont faites à la main, ainsi que le corps, les accessoires et les costumes.
Le créateur les fabrique une par une à la main.
Seul le créateur peut rendre l’expression douce et vive des poupées réalistes.
L’expression du visage est dessinée à la main. Ils ne peuvent pas retoucher les expressions du visage.
Voici donc le point le plus important pour la fabrication des poupées, car l’expression du visage joue sur l’effet final.
Si la ligne est trop épaisse, l’expression sera alors très différente de la peinture ukiyo-e, car cette peinture est tracée très finement.
Le dessin de l’expression du visage de la poupée est donc une étape de fabrication très délicate.
Ōgiya Hanaōgi
Hanaōgi fut considérée comme la plus glorieuse Oiran d'Ōgiya.
Sa beauté et ses connaissances ont fait d'elle l'Oiran la plus prisée.
Hanaōgi acquis de hautes connaissances telles que la poésie, la calligraphie, la cérémonie du thé, le shamisen et l'Ikebana (l'art de faire vivre les fleurs).
Ōgiya Takigawa
Takigawa fut également considérée comme une très glorieuse Oiran d'Ōgiya, mais resta la deuxième, derrière Hanaōgi, ce qui créa très vite une rivalité.
Takigawa était également très belle et avait de nombreuses compétences telles que la poésie, la calligraphie, la cérémonie du thé, le shamisen et l'Ikebana (l'art de faire vivre les fleurs).
Toutes les deux se disputèrent pour le rang de numéro un.
Les Oiran étaient des artistes au Japon.
Une Oiran a de nombreuses compétences comme, les arts traditionnels de Sado (cérémonie du thé Japonaise), Ikebana (organisation florale) et la calligraphie.
La Oiran était considérée comme un genre de Yujo "femme de plaisir" ou prostituée. Cependant, elles se distinguaient comme des artistes et beaucoup d'entre elles sont devenus des célébrités de leur temps en dehors des quartiers de plaisir. Leurs arts et tendances ont souvent installé un effet de mode parmi les riches et de ce fait, les aspects culturels et traditionnels des Oiran continuent d'être conservés encore aujourd'hui.